Voici les « bonnes pages » d’un article que je viens de trouver sur le web. Le sujet va incontestablement vous plaire. Car la thématique est « la formule 1 ».
Le titre troublant (Le GP de France, menacé de disparition, « n’est pas mort », selon son directeur) est évocateur.
Sachez que le rédacteur (annoncé sous la signature d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux.
Le papier a été publié à une date mentionnée 2022-07-21 08:54:00.
Voilà ll’article en question :
A peine revenu et déjà menacé de repartir. Le Grand Prix de France, revenu officiellement en 2018 au calendrier du championnat du monde de Formule 1, sur le circuit Paul-Ricard, pourrait à nouveau disparaître puisque son contrat, qui expire cette année, n’a toujours pas été renouvelé. Mais Eric Boullier, le patron du GP de France, a tenu à se montrer relativement rassurant en annonçant en préambule : « on n’est pas mort ». Interrogé par l’AFP sur la probabilité que la France accueille à nouveau la course l’an prochain, l’ancien patron de McLaren a pris des pincettes : « Le président de la FOM (détenteur des droits commerciaux de la F1), Stefano Domenicali, a clairement dit que la France méritait d’être présente. La FOM travaille aussi sur l’expansion de son calendrier, du nombre de Grands Prix, et donc sur plusieurs solutions », a-t-il indiqué, avant d’évoquer une alternance comme solution possible. « Il n’y a pas de solution idéale, nous avons tous les scénarios en discussion avec la Fédération, qui stratégiquement parlant souhaiterait avoir plus de Grands Prix sur un nombre de dates qui n’est pas extensible, et donc effectivement, l’alternance pourrait être une solution pour plusieurs Grands Prix », a poursuivi Eric Boullier.
« À partir du moment où la volonté est des deux côtés de vouloir garder un Grand Prix en France, tant mieux, qu’il soit tous les deux ans, tous les trois ans, tous les cinq ans ou tous les ans, on verra. On doit s’inscrire dans la possibilité future qu’il y ait peut-être 30 Grands Prix pour 25 dates. On n’est pas mort, on discute », a continué le patron du GP de France, qui a également tenu à faire l’éloge du savoir-faire français : « Nous sommes le seul Grand Prix certifié trois étoiles environnementales par la FIA. (…) La France a une grande culture de la course automobile et de la F1, on a deux pilotes sur la grille qui ont gagné chacun un Grand Prix, on a un constructeur, Renault, qui est motoriste, une équipe avec Alpine ». D’ici la, le circuit Paul-Ricard s’attend à vivre ce week-end une édition record puisque pas moins de 200.000 spectateurs sont attendus sur trois jours.
L.C
Bibliographie :
Drive, les hommes qui ont fait la Formule 1.,Le livre . Ouvrage de référence.
Abécédaire insolite de la Formule 1.,Le livre .
Scrap Metal, Tome 3 : Une seule ligne d’arrivée.,(la couverture) .