Voici les « bonnes pages » d’un texte que je viens de identifier sur internet. Le thème va résolument vous séduire. Car la thématique est « la formule 1 ».
Son titre saisissant (Stefano Domenicali dit non à l’Allemagne en 2023) parle de lui-même.
Identifié sous le nom «Mickael Guilmeau», l’écrivain est connu et fiable pour d’autres papiers qu’il a publiés sur internet.
Vous pouvez lire ces infos en toute tranquillité.
Voici lle texte mentionné :
Lors d’une interview accordée à Bild, Stefano Domenicali, PDG de la F1, a clairement fait savoir que la F1 n’ira pas en Allemagne en 2023.
Le dernier Grand Prix d’Allemagne remonte à 2019, à Hockenheim. Depuis, la F1 y est allée une fois, l’année suivante, lors du Grand Prix de l’Eifel, couru sur le Nürburgring. Et on ne le reverra pas au calendrier 2023. Stefano Domenicali, interrogé par Bild, le confirme.
« Si je ne passe pas d’appel moi-même, je vois et j’entends peu parler de l’Allemagne. Ils parlent, parlent, parlent, mais à la fin, vous avez besoin de faits. C’est un mystère pour moi qu’on ne puisse pas déclencher l’organisation autour d’un Grand Prix de nos jours. Mais s’ils réussissent, nous aurons à nouveau une course en Allemagne », indique le PDG de la F1.
L’argent, l’obstacle de l’Allemagne
En début d’année, les dirigeants des deux principaux circuits allemands se sont exprimés sur un possible retour de la F1 en Allemagne. Celui du circuit de Hockenheim a déclaré : « Le fait est que le Hockenheimring a un intérêt à ce que la F1 se déroule ici et ce n’est pas nouveau. Nous connaissons également tous les obstacles qui existent pour cela. »
Celui du Nürburgring a suivi son homologue, expliquant que « cela doit être économiquement viable. Tant qu’il y aura autant de pays prêts à payer des sommes folles pour une course de F1 qui ne pourra pas du tout être rentabilisée, on ne pourra pas faire les mêmes offres. »
Hockenheim a même fait un pas vers la F1, en se proposant comme remplaçant du Grand Prix de Russie, annulé suite à l’affrontement opposant le pays dirigé par Vladimir Poutine à l’Ukraine.
Pour Stefano Domenicali, ce problème ne doit pas en être un qui impact directement la F1. Le circuit doit pouvoir absorber l’ensemble des coûts liés à l’organisation de la course.
« Le Grand Prix doit être rentable pour toutes les parties, nous ne pouvons pas couvrir tous les coûts. », explique-t-il.
Avec l’équipe Mercedes en piste, actuellement deux pilotes allemands présents et deux constructeurs allemands sur le point de rejoindre la F1, il est regrettable de ne pas avoir une course en Allemagne.
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