Voilà qui va vous réjouir : Un nouvel encart que nous venons de identifier sur internet et que nous vous produisons ci-dessous. Le propos est « la formule 1 ».
Son titre (Un mauvais timing pour Leclerc avec la VSC ce dimanche à Monza) est évocateur.
Sachez que l’auteur (présenté sous la signature Cesare Ingrassia) est reconnu comme quelqu’un de sérieux.
Vous pouvez lire ces révélations en confiance.
L’article a été édité à une date indiquée 2022-09-11 17:38:23.
Charles Leclerc estime que Ferrari n’a pas eu de chance en termes de timing ce dimanche au Grand Prix d’Italie lorsqu’il s’est arrêté au stand au moment où la Voiture de Sécurité Virtuelle prenait fin.
En début de course, l’abandon de Sebastian Vettel a forcé la direction de course à déployer une VSC pour permettre aux commissaires de dégager l’Aston Martin de l’Allemand. Durant cette VSC, Ferrari a choisi de faire rentrer Charles Leclerc au stand pour chausser des gommes Mediums sur sa monoplace juste au moment où la période sous VSC se terminait, ce qui signifie que le Monégasque n’a pas pu profiter de cette VSC.
“Dans l’ensemble, je pense que le rythme n’était pas mauvais aujourd’hui. Le fait est que nous n’avons pas eu de chance avec la fin de la voiture de sécurité virtuelle au moment où nous étions dans la voie des stands lors de notre premier arrêt.” a expliqué Leclerc après l’arrivée du Grand Prix d’Italie.
“Nous aurions pu leur rendre la vie plus difficile avec les Mediums si nous avions eu l’avantage de nous arrêter sous le VSC. Mais malheureusement, nous n’avons pas pu en profiter.”
Charles Leclerc allait pourtant avoir une deuxième chance en fin de course lorsqu’une voiture de sécurité a été déployée en piste après la panne de la McLaren de Daniel Ricciardo. Le pilote Ferrari est alors rentré une autre fois dans la voie des stands pour chausser des gommes Tendres comme son rival Max Verstappen, mais finalement, la direction de course a pris la décision que le Grand Prix d’Italie se terminerait sous Safety Car, laissant les spectateurs présents sur le tracé (et certainement ceux devant leur TV) frustrés.
“En ce qui concerne les derniers tours, de mon point de vue, j’avais l’impression que la piste était dégagée, donc j’attendais le redémarrage. Mais peut-être qu’il y avait des choses en arrière plan que je ne connaissais pas et c’est peut-être pour cela que nous n’avons pas repris la course.” s’est contenté d’ajouter Leclerc.
Après le Grand Prix d’Italie, Charles Leclerc voit son rival Max Verstappen accentuer son avance au championnat pilotes puisque le pilote Red Bull a désormais 116 points d’avance sur le Monégasque.
Bibliographie :
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